Extrait de l'article Dans une interview accordée à Libération, Pierre Rabhi a affirmé que «c’est une stratégie de confiscation de l’autonomie des paysans pour pouvoir ouvrir des marchés. S’il n’y a plus que des multinationales qui ont le droit de vendre des semences, alors que nous avons un patrimoine semencier de 10 à 12.000 ans, transmissible de génération en génération, on engage l’humanité dans un processus de prise en otage et de hold-up légalisé». |
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